« L’incroyable pouvoir du souffle » est une sorte de traité d’écologie personnelle indispensable qui peut changer votre vie. Très éclairant sur notre manière de respirer qui dit tout de nous… En effet, l’écologie doit commencer par soi. La pollution n’est pas qu’extérieure, elle est en nous. Nous polluons notre souffle quand nous le chargeons de nos anxiétés, nos tourments, notre colère. Ensuite nous polluons de notre souffle saturé de toxines nos relations. Nous propageons parfois l’ivraie quand nous perdons le contrôle de notre souffle. Avant de vouloir sauver la planète, apprenons à être en paix afin de ne pas laisser en nous des déchets toxiques polluer notre être, nos relations, entraver notre vision, nos interactions dans le monde… Les bienfaits de la gratitude relève du même esprit. Dire merci, être reconnaissant, c’est expirer ce que l’on a inspiré, rendre au monde ce qu’il nous a offert. Nous sommes alors dans le cycle de la vie. « L’incroyable pouvoir du souffle » nous recarde très facilement pour participer à cette respiration universelle bienveillante dont nous n’avons jamais eu tant besoin.
Résumé de « L’incroyable pouvoir du souffle » de Stéphanie Brillant
Le souffle et la respiration n’ont rien à voir. Le souffle est le flux, la respiration et l’action. On contrôle son souffle par sa respiration. Quand le souffle et la respiration se rencontrent, c’est un peu comme le pilote et son véhicule.
Le souffle est un super-pouvoir.
Il soigne. Il apaise. Il renforce.
Il restaure la santé. Il décuple les capacités physiques et mentales.
Il permet de voir le monde autrement, sans jugement.
D’être plus heureux. De mieux que se connecter aux autres, à la nature.
De découvrir ou d’approfondir la spiritualité.
PARTIE 1 – LA SAGESSE DU SOUFFLE
Il y a quatre étapes dans le souffle :
- Le souffle inconscient. Nous respirons et c’est tout
- Le souffle personnel. C’est par le souffle que nous cherchons à nous reconnecter à nous-mêmes et que nous explorons qui nous sommes.
- Le souffle interpersonnel. Nous étant trouvés, nous pouvons trouver l’autre et nous connecter avec nos pairs et la nature.
- Le souffle transpersonnel. Nous accédons à quelque chose qui dépasse notre condition d’humain. L’humain rejoint le divin.
1. Comprendre le souffle et la respiration
Notre souffle est le grand chef d’orchestre de notre corps. Il crée l’harmonie ou la cacophonie. Il est notre lien entre l’intérieur et l’extérieur.
Faites cette petite expérience… Exprimer « Oh, là, là ! ». Dans un premier temps, prononcez cette phrase en comme si vous félicitiez un enfant de 4 ans pour son beau dessin. Dans un deuxième temps, exprimez « Oh, là, là » comme si ce même enfant se dressait devant vous avec la tête en sang. Dans le premier cas vous avez prononcé votre « Oh, là, là ! » dans une longue expiration. Dans le deuxième cas, vous avez terminé en retenant votre souffle bloqué dans votre cage thoracique.
Vous pouvez décrypter votre système nerveux en écoutant votre respiration. Notre modèle respiratoire a été conditionné par notre vécu et s’est dans les premières années de notre vie. Repensons à notre école primaire par exemple… Nous allons voir remonter une respiration particulière, notre souffle de l’école.
Le gros muscle respiratoire est le diaphragme. Il est d’une importance immense pour l’équilibre notre corps et le bon fonctionnement de nos organes. Situés juste sous les poumons, quand vous inspirez il se contracte et descend dans la cage thoracique. Il remonte de façon passive quand vous expirez, car d’autres muscles prennent le relais. Il est comme une méduse. Pour avancer, cette dernière fait un mouvement dynamique mais se met en expansion également comme le fait le diaphragme. Il tapisse tout votre intérieur, enveloppe vos viscères, et masse les organes à chaque inspiration. Si nous respirons bien, notre structure profonde sera solide et puissante et nos mouvements seront naturels et fluides.
Inspirez-vous plus longuement que vous expirez ou l’inverse ? Le bon ratio au repos est 2 pour 3 : si l’inspiration dure 2 secondes, l’explication doit durer 3 secondes. Et nous devrions tous être autour de 8 à 12 respirations par minute.
« Ce livre est un traité d’écologie personnelle. L’écologie doit commencer par soi. La pollution n’est pas qu’extérieure, elle est en nous. Nous polluons notre souffle quand nous le chargeons de nos anxiétés, nos tourments, notre colère. Ensuite nous polluons de notre souffle saturé de toxines nos relations. Nous propageons parfois l’ivraie quand nous perdons le contrôle de notre souffle. Avant de vouloir sauver la planète, apprenons à être en paix afin de ne pas laisser en nous des déchets toxiques polluer notre être, nos relations, entraver notre vision, nos interactions dans le monde… Les bienfaits de la gratitude relève du même esprit. Dire merci, être reconnaissant, c’est expirer ce que l’on a inspiré, rendre au monde ce qu’il nous a offert. Nous sommes alors dans le cycle de la vie. »
2. Dis-moi comment tu respires, je te dirai qui tu es
Il existe une correspondance entre les schémas de respiration et les types de personnalité. Notre respiration est la partie visible de notre baromètre intérieur. Le souffle vous ramène à votre état présent : on peut pas respirer pour hier ou pour demain, il dit ce que vous vivez à l’instant. Le souffle est le véhicule de l’émotion, c’est lui qui la transporte, qui l’amène vers l’extérieur, la fait sortir par les pleurs, les rires, les cris, le silence… Chaque émotion est liée à un schéma respiratoire. Amusez-vous à produire le souffle que vous avez quand vous pleurez, quand vous êtes excité, quand vous êtes soulagé, quand vous souriez… Et observez.
Lorsque nous sommes stressés, notre rythme respiratoire augmente. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de préserver notre intégrité physique mais de modifier peu à peu la réponse du cerveau aux menaces extérieures et au stress. La respiration est la voie de communication entre soi et l’extérieur. Une respiration superficielle indique une peur en lien avec la vie comme si on s’autorisait la vie à petites gorgées.
L’odorat et le goût de la vie passe par le nez. Et la forme de notre nez ne doit rien au hasard. Dans les régions où il fait froid, le nez doit réchauffer l’air avant de le faire rentrer. Les habitants de ces régions ont un nez plus long que ceux qui habitent les régions chaudes et humides, où les habitants ont des narines plus larges car le nez ne doit pas réchauffer l’air déjà chaud ou le rendre moins sec.
Votre voix ce n’est pas vous, c’est ce que vous envoyez au monde. Elle est votre musique. La voix, c’est du souffle audible. Poser notre voix est essentiel et provoque du bien-être. Notre voix fixe ce que notre souffle a exprimé au cours de notre vie. Une voix posée claire donne un sentiment de sécurité : la personne est passée à travers la vie et la vie passe de façon fluide. Dans la prise de parole en public, il y a bien plus que les mots. Si vous faites une pause, un cycle complet de respiration, vous allez trouver l’inspiration. Pour quelqu’un qui a besoin de temps, cela lui permet de terminer sa pensée. Le souffle sert dans l’interaction à se connecter à l’autre et c’est aussi pour cela que c’est un super pouvoir.
3. La respiration correcte
La majorité d’entre nous ne respire pas de façon optimale : pas au bon endroit, pas au bon rythme ou encore pas de la bonne manière. Par exemple, 80 % des personnes retiennent leur souffle lorsqu’elles répondent à leurs e-mails : cette cassure de fluidité respiratoire entraîne une sensation de stress.
« La bouche c’est pour manger, le nez pour respirer ! » Il n’y a qu’une seule respiration naturelle, c’est la respiration par le nez !La respiration nasale permet la production d’oxyde nitrique qui est capitale pour les muscles et les os. « Shut your month and save your live ! » Ne laissez pas les enfants respirer par la bouche.
Nous propageons dans l’inconscient collectif l’idée que la respiration se passe au niveau des poumons. Alors que c’est contre nature, et par mimétisme, la majorité d’entre nous se met à respirer de façon thoracique. Pour vous libérer, vous allez devoir lâcher toutes vos habitudes et croyances liées à la restriction, au carcan, au contrôle. Pour bien respirer, mettons-nous debout. Notre cage thoracique doit être parallèle à notre plancher pelvien. Notre tête doit être dans l’alignement de la colonne qui ne doit pas bouger pour remettre la tête bien droite. Pour bien utiliser son diaphragme, il faut respirer dans tout le corps. Dans le dos, dans les côtés… Pensez à un panier à vapeur en métal : c’est ce qui ressemble le plus à un diaphragme.
Exercice : écartez les jambes à la largeur des épaules et pliez un peu les genoux et venez appuyer chacune des mains sur un genou. Expirez l’air que vous avez dans les poumons et ne prenez pas de nouvelles inspirations mais rentrez votre ventre au maximum en poussant d’abord le nombril en direction de la colonne. Puis maintenez la poussée vers le haut comme si vous vouliez faire remonter vos organes sur les côtes. Relâchez quand vous avez besoin d’inspirer, sans créer de tension au niveau des épaules et du cou. Cet exercice apporte beaucoup de décontraction.
Exercice : ouvrez la bouche et réalisez de puissantes mais très courtes expirations bruyantes sans vous arrêter. Enchaînez-les et comptez jusqu’à combien de respirations vous pouvez-vous aller ? A moins de 50, votre diaphragme est un gringalet, vous n’êtes pas assez musclé. 100 à 120 est un objectif sain.
Exercice de la respiration complète
Allongez-vous sur le dos.
- La respiration abdominale : n’oubliez pas d’élargir la respiration de façon circulaire, d’infuser l’inspiration dans tout l’abdomen, devant, derrière et sur les côtés. À l’inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent. Le diaphragme est donc poussé vers le bas et s’aplatit. Les abdominaux sont eux poussé vers l’avant. À l’expiration, le diaphragme remonte dans la cage thoracique.
- La respiration costale : se fait au-dessus de l’abdomen, vous devez sentir que l’espace élargi dans votre cage thoracique.
- La respiration claviculaire : en haut de de votre torse, accueille l’air.
- L’expiration suit le même processus à l’envers : on vide la poitrine puis la cage thoracique et l’abdomen. Restez détendu et ne crispez pas les épaules.
Exercice de cohérence cardiaque selon la méthode du Dr 0’Hare 365 : 3 fois par jours, 6 respirations par minute pendant 5 minutes par jour toute l’année.
Exercice de tolérance au CO2 : restez au repos 10 minutes précédant l’exercice. Prenez une inspiration normale, expirez, puis retenez votre souffle en vous bouchant le nez. Calculez le nombre de secondes jusqu’à ce que vous ressentiez le besoin d’inspirer. Quand l’envie d’inspirer devient prégnante, libérez votre nez et inspirez tranquillement. Un score satisfaisant est de 20 secondes. L’objectif est de pouvoir se sentir confortable sans entrée d’air pendant 40 secondes.
PARTIE 2 – UN MEDICAMENT NATUREL
1. Le souffle au cœur du processus de guérison
Notre souffle est le langage du corps. Il nous sert d’interprète. Une bonne respiration entraîne une bonne santé, et inversement. Le souffle est un médicament : si vous respirez mal et que vous corrigez le tir, vous observerez des bénéfices. L’avantage du souffle c’est qu’il ne touche pas le symptôme, il le calme. Et le calme retrouvé permet la véritable guérison. Et vous pourrez même envoyer votre souffle dans les parties de votre corps à soigner. La vraie guérison intervient quand corps, esprit et dimension spirituelle sont au diapason.
2. Les maux du corps
De nombreux maux du corps sont liés à un problème respiratoire et tous sont améliorables par des pratiques du souffle. Les pratiques respiratoires peuvent avoir des résultats très positifs sur la qualité de vie des asthmatiques, sur un bel alignement de la dentition, sur une bonne qualité du sommeil, sur les maux de dos, sur la perte de poids, sur la digestion, sur la bonne santé du plancher pelvien…
3. Les maux de l’esprit
Le souffle nous permet de mieux gérer nos émotions, de gérer nos peurs, le stress et l’anxiété qui rongent le mental. La respiration permet de retrouver le calme, d’activer le système nerveux parasympathique qui crée un état d’apaisement. Le souffle et l’énergie sont la même chose. Invisibles mais essentielles. Ils représentent une clé indispensable dans la prévention et la réparation du burnout, de la dépression, dans la libération des addictions. Le souffle offre un accès à des portes verrouillées qui permettent à la vie de s’écouler à nouveau.
PARTIE 3 – LA RESPIRATION OPTIMALE
L’état de flow
L’état de flow, c’est cette sensation de concentration immense, de facilité, de sensation de temps qui n’existe pas. Un état qui fait rêver les obsédés de la performance. Le flow était une simple affaire de flux respiratoires. Lorsqu’on atteint l’état de flow, le souffle est particulièrement profond et calme dans des moments considérés comme de plein d’engagement. C’est un souffle similaire au sommeil, à la méditation.
Ne plus redouter la douleur
La gestion de la douleur intervient par l’entremise d’une parfaite harmonie entre physique et mental. Des femmes entraînées à respirer pour leur accouchement, seront plus relaxées et réduiront le temps de travail et les risques de complication. Les professeurs d’arts martiaux disent de respirer à travers la douleur : si l’on se décontracte au contact de la douleur, que l’on n’y résiste pas, on lui donne moins de prise et moins d’intensité. Au moment où cela fait mal, il faut expirer.
La performance physique et sportive
Ne plus manquer de souffle
L’air ne manque jamais. C’est la capacité à faire circuler l’air, à maintenir la rotation intérieur qui nous fait défaut lorsque nous sommes « à bout de souffle ».
Respirer de façon circulaire et par le nez
Imaginez que vous gonfliez essentiellement le ventre lorsque vous inspirez, et que vous receviez un gros coup de poing dans l’estomac… Cela va complètement vous couper la respiration. Quand on est professionnel, il faut apprendre à inspirer par les côtés ce qui sollicite les muscles latéraux et dorsaux.
Respirer moins pour tenir plus longtemps
Respirer vite et beaucoup revient à s’épuiser. L’apnéiste qui retient son souffle longtemps, ralentit tout son système et passe en Slow Motion. Il a la capacité de modifier son rapport au temps et de faire chuter son rythme cardiaque.
La performance mentale
La respiration rend visible ce qui n’est pas conscient. Une bonne respiration permet un meilleur équilibre, une meilleure concentration, une plus grande attention, un meilleur sens de la perception, une intuition plus aiguisée, une sagesse personnelle accrue.
PARTIE 4 – LA SPIRITUALITE
Cogito ergo sum (je pense donc je suis)
Pour accueillir la spiritualité, il faut libérer l’espace. Mais comment appuyer sur le bouton arrêt ? En méditant, nous pouvons mettre la pensée sur pause. Ce qui nous permet de pouvoir se reconnecter avec notre nature, de se soustraire à notre humanité, de s’extraire de notre ego et se libérer de notre narratif. Le souffle nous emmène ailleurs, dans cette sphère de clarté ou les faits ne sont plus rattaché à notre histoire. C’est comme si nous pouvions nous désengluer pour reprendre notre liberté pour retrouver cette impression d’appartenir à un grand tout, à plus large que nous. Nous ne sommes plus séparés de rien, et nous découvrons un sentiment d’unité.
Le souffle du temps
Le souffle est un grand allié de la paix de l’amour. Si vous voulez œuvré pour un monde meilleur, respirer et propager vos découvertes. Car c’est avec des êtres en maîtrise de leur souffle que l’on soufflera véritablement un air nouveau !
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Se relaxer avec l’abeille
Inspirez par le nez.
Expirez longuement en faisant le son bzzz ce qui va permettre de faire vibrer votre langue juste derrière votre dents.
Lancer une minute bzzz
Se relaxer un–deux–pause
Inspirez par le nez et Expirez par le nez – Pause sans air
En activant votre diaphragme et sans respiration thoracique
La respiration sonore
Passez toutes les voyelles en revue.
Tenez un peu la note et réalisez 2 expirations courtes entre chaque voyelles
Aaaaaaa – expire–expire Eeeeee – expire–expire Iiiiiiiii–expire-expire
Oooooo – expire–expire Uuuuuu – expire–expire
Chantonner, fredonner, siffler…
Excellent exercice pour améliorer son humeur et réduire son stress.
Les respirations bruyantes
Le son d’un soupir peut se révéler très réconfortant. Ou une inspiration merveilleusement sonore, celle que l’on prend lorsque l’on se charge de vie.
Rétention du souffle et mouvement
Asseyez-vous sur une chaise.
Étendez vos jambes de façon horizontale.
Retenez votre souffle le plus longtemps possible en fléchissant les jambes.
Faites cela aussi longtemps que vous le pouvez.
Reprenez votre souffle.
Faites cela à 3 reprises puis allongez-vous et respirez normalement.
Les yeux ouverts
Maintenez les yeux grand ouverts le plus longtemps possible et contrôlez le clignement de paupières.
La respiration qui accompagne cette action se ralentit naturellement.
Soutenir la santé : des expirations soignantes
Pratiquez six expirations soignantes avec pour chacune un son au souffle et les répéter trois fois. Pour chaque expiration, visualisez les organes concernés et rejetez les toxines par le souffle.
SSSSS Tel un serpent
Active le colon, les poumons et le nez
Actif sur les rhumes, toux, congestions, difficultés émotionnelles
WHOUU Le son que vous faites pour éteindre une bougie
Il agit sur les reins, la vessie, les oreilles,
Accroître les énergies vitales et aide les problèmes de pieds froids
Libérer la peur
SHHHH C’est comme chut
Pour le foie, la vésicule biliaire et les yeux,
Combat l’anorexie, le vertige, la jalousie et la colère.
HAAAA Comme si vous vouliez faire sentir votre haleine fraîche
Le son du cœur et de l’intestin et de la langue.
Efficace pour les maladies de cœur, insomnies, sueurs nocturnes
Combat l’arrogance, l’impatience, la haine
HHOUU Comme si vous vouliez faire peur à quelqu’un
Son de la rate et de l’estomac. Associé à la bouche.
Actif pour la digestion, les dysfonctionnements menstruels
Apaise l’anxiété et l’inquiétude
HHIIII Soufflé entre les dents
Actif pour la partie du corps qui va de la poitrine au bas du ventre
Favoriser le sommeil – Rituel simple
Allongez-vous sur le dos, posez les paumes de vos mains sur votre abdomen.
Retenez l’air à l’issue de votre inspiration.
Réalisez 10 inspirations et 10 expirations
Favoriser le sommeil : 4-7-8
Allongé sur le dos, posez une main sur votre abdomen
Inspirez par le nez pendant 4 secondes
Retenez votre souffle pendant 7 secondes
Expirez pendant 8 secondes
Douleurs de dos
Allongez-vous sur le ventre, les jambes légèrement écartées, et les bras repliés l’un sur l’autre pour supporter votre front.
Sentez le contact de votre abdomen contre le sol à l’inspiration et sa rétraction à l’expiration
Douleurs de dos : respiration des sacs de sable
Allongez-vous sur le dos et placez un sac de 2 kg sur votre ventre.
L’inspiration va vous demander davantage d’efforts alors que l’expiration devrait être beaucoup plus facile.
Faites de l’exercice 3 à 5 minutes.
Protéger son dos
Prenez 10 inspirations et expirations lentes.
Expirez quand vous soulever un objet lourd.
N’inspirez que quand vous abaisser les poids.
Mal de tête
Asseyez-vous et visualisez votre troisième œil, le point entre vos 2 sourcils. Inspirez par le troisième œil. Et faites circuler l’air jusqu’à votre chakra couronne sur le haut du crâne et laisser continuer son chemin vers la base du crâne jusqu’à l’occiput. Faites faire à l’air le chemin inverse à l’expiration.
Douleur chronique
Asseyez-vous le dos droit.
Respirez seulement par le nez.
Gonflez votre abdomen à chaque inspiration et contractez-le à chaque acceptation comme si vous vouliez rapprocher votre nombril de votre colonne vertébrale.
Inspirez en 4 temps. Retenez en 8 temps. Expirez en 12 temps.
Faites une douzaine de cycles.
Soulagement de l’esprit
Expirez le négatif et inspirez le positif.
Visualisez la peur s’évacuer à l’expiration
Et le courage et l’amour entrer à l’inspiration.
Perte de poids
Asseyez-vous le dos droit, comme si une ficelle reliait votre tête au plafond.
Placez une main sur votre poitrine et l’autre au niveau de votre nombril. Alors que vous respirez, exercer une pression légère avec vos mains sur votre abdomen et votre poitrine. Respirez contre votre main en vous concentrant sur le fait de réduire chaque fois la taille de votre inspiration. Prenez à chaque inspiration, une quantité d’air inférieure à ce que vous aimeriez prendre. L’inconfort est normal. Chaque inspiration est plus petite et plus courte que la précédente. Les expirations doivent être détendues. Imaginez un ballon qui se dégonfle doucement. Ralentissez tranquillement et réduisez vos mouvements respiratoires jusqu’à ce que vous ayez envie de prendre une inspiration normale.
Réalisez cette technique 5 minutes, 2 à 3 fois par jour.
Calmer l’angoisse par la respiration diaphragmique
Posez une main sur votre poitrine et une autre sur votre nombril.
L’exercice commence par un souffle de soulagement, donc une expiration en faisant aaaahhhh. Relaxez vos épaules et le haut du corps
Faites une petite pause sans air.
Dès que vous en ressentez le besoin, inspirez par le nez en gonflant votre abdomen. Réalisez une nouvelle pose les poumons pleins
Crise de panique
Inspirez par le nez, puis placez une paille entre vos lèvres et expirez longuement et tranquillement. Si vous n’avez pas de paille, essayez en serrant les lèvres pour ne laisser passer qu’un filet d’air comme si vous siffliez.
Mobiliser l’esprit
Positionnez votre index et votre majeur entre vos sourcils, au niveau du troisième œil. Puis avec votre pouce, obstruez la narine la plus proche et pour la narine opposée, utilisez l’annuaire. Une fois l’inspiration terminée, bouchez la narine opposée, en expirant puis inspirez de nouveau par la même narine. Bouchez-la et expirez par l’autre narine. Il faut inspirer par la même narine que celle avec laquelle on vient d’expirer.
Revitaliser son énergie
Asseyez-vous confortablement.
Portez votre attention sur votre plexus solaire.
Inspirez par le diaphragme.
Faites une courte pause.
Expirez tranquillement en faisant le son chuchoté haaaaaaa
Faites une nouvelle pause.
Inspirez et ainsi de suite.
Faites l’exercice pendant au moins 5 minutes.
Laurence de Vestel – ©oltome.com2022 – Mars 2022